Il a fallu attendre les travaux de Ronald Ross pour découvrir que le paludisme était dû essentiellement à un parasite, le Plasmodium falciparum, transmis à l’homme par la piqûre d’un moustique, l’anophèle femelle.
Il a fallu attendre les travaux de Ronald Ross pour découvrir que le paludisme était dû essentiellement à un parasite, le Plasmodium falciparum, transmis à l’homme par la piqûre d’un moustique, l’anophèle femelle.